Étiquette : peuples autochtones

  • La Société d’histoire pédale le long de la rivière Humber

    La Société d’histoire pédale le long de la rivière Humber

    Une douzaine de casques multicolores s’attendent à la station de métro Old Mill. Une petite descente, et le groupe de cycliste mené par la Société d’histoire de Toronto s’arrête au parc Étienne-Brûlé – du nom de l’explorateur français – qui sera un fil rouge de cette balade le long de la rivière Humber.

  • Naviguer à travers un empire de Babel : Les interprètes dans l’Amérique française, 17e – 18e siècles

    Naviguer à travers un empire de Babel : Les interprètes dans l’Amérique française, 17e – 18e siècles

    La participation de la France au monde atlantique qui prend forme entre le 16e et le 17e siècles ouvre de nouvelles perspectives pour le commerce, la dissémination de la foi catholique, et les conquêtes coloniales, mais elle engendre de nouveaux problèmes de communication. Les marchands d’esclaves français sillonnant les côtes africaines cherchent des terrains d’entente…

  • Étienne Brûlé n’est pas arrivé au Canada avant 1610

    Étienne Brûlé n’est pas arrivé au Canada avant 1610

    Dans le théâtre Spadina de l’AFT, des membres de la Société d’Histoire de Toronto ont reçu un rapport bousculant les idées reçues sur le coureur des bois Étienne Brûlé, de la part de membres de la Société d’Histoire de Champigny-sur-Marne, en France. À lire!

  • La Société d’histoire et l’Alliance française mettent en perspective la COVID-19 et les autres pandémies

    La Société d’histoire et l’Alliance française mettent en perspective la COVID-19 et les autres pandémies

    Catherine Frelin, consultante en financement de l’innovation et de la recherche, était l’invitée de l’Alliance française et de la Société d’histoire de Toronto, les deux organismes ayant noué un partenariat pour offrir une conférence virtuelle sur le bilan à tirer de la gestion de la pandémie au Canada.

  • Les migrations francophones en Amérique fascinent et intriguent

    Les migrations francophones en Amérique fascinent et intriguent

    Synthétiser presque 500 ans de migrations francophones en Amérique en l’espace d’une heure, c’est la tâche à laquelle s’est attelé Yves Frenette…M. Frenette a livré à l’audience de cette conférence les résultats de 40 ans d’études sur le sujet

  • À la découverte des sitestouristiques autochtones en Ontario

    À la découverte des sitestouristiques autochtones en Ontario

    Bien avant l’arrivée des Européens, les peuples autochtones s’étaient établis partout en Amérique du Nord y compris en Ontario. L’histoire ayant été écrite par les Européens ce n’est que récemment que nous avons découvert leur histoire. Plusieurs sites, musées et événements en Ontario permettent aujourd’hui d’en apprendre davantage sur ces peuples et leurs cultures. Corinne…

  • Baby Point, de pied en cap (1re partie)

    Baby Point, de pied en cap (1re partie)

    Des premiers habitants de Baby Point, le lieu d’un ancien poste de traite français à l’ouest de Toronto près de la rivière Humber. (Compte-rendu détaillé de L’Express. À lire!)

  • Les Métis de l’est : une question d’identité, pas de terres

    Les Métis de l’est : une question d’identité, pas de terres

    Comment s’y retrouver sans perdre le nord? Le dernier recensement nous montre qu’entre 2006 et 2016 les personnes qui s’identifient comme Métis ont augmenté de 150 % au pays. Au lieu d’être une bonne nouvelle, ceci soulève controverse et inquiétude de part et d’autre du pays.

  • Les neuf vies de Marie-Angélique le Blanc

    Les neuf vies de Marie-Angélique le Blanc

    Des articles paraissent à son sujet dans les journaux de plusieurs pays. Les multiples péripéties de son existence se retrouvent dans les archives du Canada, de la France et du Vatican. Oubliée pendant plus de 200 ans, elle bénéficie aujourd’hui d’un regain d’intérêt. Elle s’appelle Marie-Angélique le Blanc, née en 1712 dans le Wisconsin actuel,…

  • Ils partirent pour un long voyage

    Ils partirent pour un long voyage

    Tout au long du 19e siècle, des milliers d immigrants et voyageurs débarquent dans nos ports. D’autres, cependant, font voile (ou vapeur) en sens inverse, dont de nombreux Métis et Autochtones : enfants de la fourrure destinés aux pensionnats écossais, missionnaires en quête de fonds, délégués des Premières Nations en appel vers la Reine Victoria…