Activités

Séisme et santé mentale à Haïti

L’Alliance française de Toronto 24 Spadina Road, Toronto, ON, Canada

La crise déclenchée en Haïti par le séisme du 12 janvier 2010 et ses répliques a suscité un intérêt planétaire et déclenché un mouvement de mobilisation globale d’aide internationale sans précédent. Même avant cette catastrophe, Haïti était caractérisé par un manque d’infrastructures et une pauvreté omniprésente. Aujourd’hui, il doit affronter le défi de la reconstruction après avoir subi des pertes considérables et d’importants traumatismes. Cette conférence contribuera à une meilleure compréhension des défis à relever en Haïti en exposant les problèmes sociaux et culturels pertinents. Ces historiques et politiques permettront de comprendre :

À la recherche d’Étienne Brûlé

L’Alliance française de Toronto 24 Spadina Road, Toronto, ON, Canada

Pour les Franco-Ontariens, l’histoire débute en 1610 avec l’arrivée en Ontario du Français Étienne Brûlé. Dans la province, il compte officiellement parmi les héros, même si nous connaissons relativement peu de son existence. Cependant, certains historiens ne voient dans cet enthousiasme qu’une exaltation de la croyance populaire et de la mythologie orale. Qui était réellement ce héros contesté? À la recherche d’Étienne Brûlé propose deux histoires, qui se font écho tout au long du documentaire. La première capte le projet d’animation de la classe de l’École secondaire.

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Histoire(s) d’un cinéaste réfugié: Jean Benoit-Lévy à New York, 1941-1950

L’Alliance française de Toronto 24 Spadina Road, Toronto, ON, Canada

Le producteur et réalisateur français de films éducatifs Jean Benoit-Lévy quitta l’Europe avec sa famille à la fin de l’été 1941 pour se réfugier aux États-Unis. Très connu en France et à l’étranger pendant les années 1920 et 1930, le Statut des Juifs d’octobre 1940 lui avait fait perdre son statut professionnel, sa maison de production, son appartement parisien et jusqu’à son nom effacé des génériques de ses films. Il fut oublié. Pourtant, dès son arrivée à New York, il reprit contact avec un réseau d’individus et d’institutions qu’il connaissait depuis le milieu des années 1930 et pendant toute la décennie 1940-50, il se consacra à l’enseignement, au rayonnement du cinéma éducatif et à son engagement pour la coopération internationale.

La cinématographie à Toronto de 1896 à nos jours

L’Alliance française de Toronto 24 Spadina Road, Toronto, ON, Canada

« Une exploration du patrimoine de nos salles de cinéma : des grands palais de la rue Yonge aux petites salles des quartiers de l’est et ouest de Toronto »

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Naviguer à travers un empire de Babel : Les interprètes dans l’Amérique française, 17e – 18e siècles

L’Alliance française de Toronto 24 Spadina Road, Toronto, ON, Canada

La participation de la France au monde atlantique qui prend forme entre le 16e et le 17e siècles ouvre de nouvelles perspectives pour le commerce, la dissémination de la foi catholique, et les conquêtes coloniales, mais elle engendre de nouveaux problèmes de communication. Les marchands d’esclaves français sillonnant les côtes africaines cherchent des terrains d’entente linguistiques avec leurs interlocuteurs africains ; les marins font appel à leur connaissance de langues européennes et de langues véhiculaires (comme la lingua franca) pour communiquer avec d’autres vaisseaux en mer ou accoster dans des ports étrangers ; les explorateurs, marchands de fourrures, et missionnaires se démènent afin de maîtriser les divers idiomes des habitants amérindiens de la Nouvelle France ; et les colons français, Amérindiens, et esclaves africains dans les diverses colonies façonnent à partir de leurs savoirs linguistiques préexistants de nouveaux pidgins et créoles. Dans les sociétés de plus en plus cosmopolites des Amériques modernes, aussi bien dans les sphères d’influence de la France que en dehors, les impératifs de l’administration coloniale, l’évangélisation chrétienne, l’échange commercial et l’interaction sociale tous font de la capacité de communiquer dans un environnement plurilingue une compétence cruciale.

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Les francophones pendant la guerre de 1812

L’Alliance française de Toronto 24 Spadina Road, Toronto, ON, Canada

Ils sont partout : dans les rangs, à la prise du fort Mackinac, à la capture de Détroit, à Queenston Heights, aux nombreuses escarmouches. Ils vivent dans leurs villages des deux côtés de la frontière. Ils voient au transport, aux communications, à l’approvisionnement, au maintien des relations avec les Premières Nations. Frédéric Rolette, Thomas Verchères de Boucherville, François, Jacques et Jean-Baptiste Baby, Jean-Baptiste Rousseau… mais aussi Élizabeth Mitchell et Madeleine Laframboise. Du gouverneur général Sir George Prévôt à l’estafette Toussaint Pothier, ils sont francophones, motivés et pleins de ressources. Nous allons faire leur connaissance. Et l’occasion sera bien trop courte pour souligner leur incroyable contribution durant la première année du conflit.

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Toronto et sa toponymie française

L’Alliance française de Toronto 24 Spadina Road, Toronto, ON, Canada

Rue de la Promenade n’existe pas à Toronto, mais c’est une belle invitation à venir découvrir les quelques 100 rues, avenues, boulevards, promenades, croissants, courts et parcs qui portent un nom français ou bilingue dans notre ville. Vous connaissez déjà St George Street et Baby Point Crescent, mais à qui rend hommage la rue Bouchette ou le parc L’Amoreux ? La causerie passera en revue les toponymes qui se rapportent à la Nouvelle-France, aux personnalités politiques, aux personnages torontois, aux personnalités françaises et monégasque, aux lieux géographiques, aux vins, bières, fromages, gâteau et animaux.

L’histoire du vieillissement durant les derniers siècles – vieillir autrement

L’Alliance française de Toronto 24 Spadina Road, Toronto, ON, Canada

À la fin de la première année de la Guerre de 1812, les Canadiens se félicitent d’avoir repoussé les attaques américaines. Cependant le 28 avril 1813, les troupes ennemies débarquent en force devant la petite ville de York, capitale du Haut-Canada. L’invasion se serait passée sans coup férir si la poudrière du fort York n’avait pas sauté, entraînant de nombreuses morts et mutilations. C’est désormais une guerre sans merci, qui s’étend du Haut au Bas-Canada, sur terre et sur mer. Et là encore, les francophones sont partout : de Frenchtown près de Détroit à Châteauguay au sud de Montréal. Les trois frères Baby, Frédéric Rolette, Charles de Salaberry et ses Voltigeurs, les régiments de Watteville et Meuron entrent partout en action.

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