Le quartier Roncesvalles est bien connu pour ses restaurants, ses boutiques et ses délicatessens polonais, témoins de la vitalité de sa communauté. Mais pourquoi porte-t-il le nom d’une ville et d’une bataille en Espagne? Saviez-vous aussi qu’à un moment donné de son histoire, le quartier comptait de nombreux commerces allemands et trois cinémas?
Une marche bilingue offerte en partenariat entre la Société d’histoire de Toronto et Lost Rivers. Nous vous invitons à partager avec nous l’héritage de Charles Sauriol, en explorant à pied la vallée de la rivière Don. Nous emprunterons une piste en sens unique, d’un côté de la vallée à l’autre. Charles a été à la fois naturaliste, apiculteur, planteur d’arbres, créateur d’un potager communautaire, fier Franco-Ontarien, historien et écrivain.
De nouveaux documents d’archives dépouillés au cours des derniers mois par des historiens de Champigny-sur-Marne (village natal d’Étienne Brûlé) jettent un nouvel éclairage sur le parcours de ce premier « truchement » et aventurier français à parcourir le territoire qui est aujourd’hui l’Ontario.
En compagnie des guides Chantal Smieliauskas et Rolande Smith, explorez l’un des quartiers de Toronto regroupant plusieurs édifices particulièrement représentatifs de l’Art Déco.
Une visite guidée en vélo sur la piste cyclable de la rivière Humber. Au 18e siècle, les rivières se déversant dans le lac Ontario faisaient partie d’un réseau de captage et de contrôle des fourrures amérindiennes. Elles étaient des lieux de traite et de troc. Les Français commerçaient en bordure du Portage de Toronto, parallèle à la rivière Humber, ils y construisent des « magasins royaux » pour l’entreposage des denrées et leur sureté.
Liberty Village est un quartier en perpétuelle évolution. Les usines et les prisons aujourd’hui fermées ont d’abord accueilli des communautés artistiques, puis sous la pression, des promoteurs, des entreprises créatives dans les secteurs des médias, de la haute technologie et du design. l’évolution de Toronto. (Plus de détails à lire ici!)
L’histoire nous a laissé de Jérôme un portrait à la fois précis et fragmentaire. Précis parce que certains de ses écrits –surtout des lettres et des préfaces à ses traductions et textes exégétiques– sont extrêmement révélateurs du personnage, notamment de ses rapports avec les autorités publiques et religieuses. (Découvez-en davantage ici!)
Bien plus que de riches entrepreneurs, la famille Gooderham et Worts a étendu son empire bien au delà du moulin à grain de leurs débuts. Découvrez l’histoire de la distillerie. Notre circuit nous amènera entre autres à l’église Little Trinity Church et à l’hôtel King Edouard.
Femme discrète, préférant le calme fécond de l’atelier aux mondanités, Rose-Aimée Bélanger a engendré une œuvre sculpturale généreuse et lumineuse révélant, avec justesse, les joies du quotidien. Pourtant, rien ne laissait présager que cette mère d’une famille nombreuse, épouse et partenaire d’un entrepreneur très engagé dans sa communauté du Nord ontarien, deviendrait une artiste de renommée à une période tardive de sa vie… Comment expliquer que, du jour au lendemain, Rose-Aimée Bélanger connaisse un succès aussi fulgurant?
Nous vous invitons à partager avec nous l’héritage de Charles Sauriol, en explorant à pied la vallée de la rivière Don. Nous emprunterons une piste en sens unique, d’un côté de la vallée à l’autre. Charles a été à la fois naturaliste, apiculteur, planteur d’arbres, créateur d’un potager communautaire, fier Franco-Ontarien, historien et écrivain. De plus, il a consacré sa vie à des mouvements de renouveau et de protection environnementale de cette magnifique vallée. Il a été chef de file des prédécesseurs et de l’actuel Toronto and Region Conservation Authority. Ce dernier continue de protéger et gérer les bassins versants de la région du Grand Toronto.
Tout au long des années 1500 et jusqu’au début des années 1600, les protestants français ont tenté à plusieurs reprises d’établir une colonie fondée sur la liberté religieuse chrétienne. Québec est la quatrième tentative – et le quatrième échec. Champlain avait-il perdu de vue cette mission? Brûlé l’avait-il maintenue? (Conférence offerte en personne et en mode virtuel).
En 1880, un Inuk du nord du Labrador, Abraham, accepte une offre de partir pour l’Europe pour une année, avec femme et enfants, afin d’y être exhibés dans des zoos. Il espère ainsi gagner des revenus qui lui permettront d’améliorer le sort de sa famille. Trente-cinq ans plus tard, John Shiwak s’enrôle et devient un des meilleurs tireurs d’élite du régiment de TerreNeuve lors de la Grande Guerre. Venez découvrir ces deux histoires tragiques ainsi que les démarches entreprises pour rectifier les erreurs du passé et commémorer leur mémoire.
